« Je m’efforce de traduire mon profond attachement pour les plantes, et tout particulièrement les arbres. Mon propos est de rapprocher le spectateur de la plante. Je regrette, en effet, notre peu d’attention pour ce qui est. Ainsi, la photographie joue ici, malgré son inévitable parti pris, le rôle de médiateur et peut constituer un idiome salutaire. De là à dire que mon travail est, peut-être, davantage d’ordre métaphysique que naturaliste... »